Présentation du livre « LE DEY DE L’HÔPITAL – Un aventurier en Algérie »
Dans son premier roman, « Le Dey de l’hôpital – Un aventurier en Algérie », Laurence Huard témoigne de l’espérance et du courage de ceux et celles qui quittent leurs pays. Dans un style à la fois accessible et agréable, Laurence témoigne ici de vies et de parcours exceptionnels ! Elle raconte avoir été bouleversée par des rencontres extraordinaires, qui restent dans sa mémoire. Ce sont ces liens très forts avec l’Algérie qu’elle veut garder pour que ces vies ne soient pas oubliées, leurs chemins ne soient pas effacés, et que ces aventurières soient reconnues et honorées. Elle joue totalement la transparence, de sorte que ces rencontres qui l’ont bouleversée, touchent à leur tour les lecteurs. Voici ce qu’en disent les médias : « En vingt ans de vie sur le continent africain, Laurence Huard, jeune angevine, remplie de dynamisme et d’enthousiasme, a croisé le chemin d’hommes et de femmes…
Pour que la vie l’emporte de soeur Bibiane Cattin
Née en 1940, en Suisse, Bibiane Cattin est religieuse des Sœurs missionnaires de Notre-Dame d’Afrique. Après un séjour de trois ans en Guinée en tant que laïque missionnaire, elle a vécu au Congo RDC pendant trente-cinq ans, en tant que religieuse. Assistante sociale de profession, elle a étudié, entre 1999 et 2002, à l’Institut de formation humaine intégrale de Montréal (IFHIM) où elle a été formée, entre autres, à l’Actualisation et à la Restauration des forces vitales humaines dans l’expérience traumatique. Bibiane Cattin partage dans ce livre son expérience de vie missionnaire, tout spécialement les dix dernières années où elle a travaillé auprès des personnes traumatisées par la guerre, notamment auprès des femmes victimes de viol. Grâce à l’approche de l’IFHIM, elle a pu contribuer «à restaurer les forces» de ces personnes qui ont traversé des événements traumatiques, à les remettre debout. Et cela en peu de temps. Le grand…
Beauté et Identité féminine de Lucienne Brousse
« L’art du tatouage comme attribut de beauté féminine était autrefois l’apanage des femmes maghrébines.
Fioretti des chrétiens de Zambie 1
Souvent le soir j’allais prier près d’une rivière proche de la maison, elle coulait, chantait, bondissait.