Jour 1 Pèlerinage sur les traces des pionniers missionnaires
Jour 1 Pèlerinage sur les traces des pionniers missionnaires
Les Missionnaires d’Afrique sont arrivés en Ouganda il y a cent quarante ans (1879) et les Sœurs Missionnaires de Notre-Dame d’Afrique il y a cent vingt ans (1899). Notre pèlerinage nous emmène dans des lieux où nos prédécesseurs en mission sont passés, ont vécu et ont servi Dieu et son peuple.
À la découverte de Mère Marie-Salomé
A l’occasion du 150e anniversaire de la fondation des Instituts des Sœurs Missionnaires de Notre Dame d’Afrique et les Missionnaires d’Afrique, à Rome, il y a eu une conférence sur la vie de Mère Marie Salomé notre première supérieure générale et notre mère.
Ouverture officielle du jubilé à Tunis, le 16 décembre 2018
Le 16 décembre nous nous sommes réunis à la cathédrale de Tunis pour lancer officiellement l’année jubilaire de 150 ans.
Jubilé en Tunisie : le 3e jour du pèlerinage
Ce dernier jour avant la célébration d’ouverture, nous sommes allés à l’Institut des Belles Lettres Arabes créé et géré par les Pères Blancs depuis 1923.
Célébration de notre 150e anniversaire à Winooski
Nous voici au seuil de notre année jubilaire … et la communauté de Winooski a déjà eu la joie d’ouvrir les célébrations! Regarder le passé avec gratitude, vivre le présent avec passion et l’avenir avec espoir: telfut notre itinéraire pour trois années précédant notre 150e anniversaire!
100 ans de vie, ça se célèbre !
Sr Thérèse Pagnac, Sœur Missionnaire de Notre Dame d’Afrique, a eu 100 ans au mois de mars 2018. Nous avons célébré son anniversaire à l’EHPAD de Meaux en France, heureuses de bénéficier de ce beau moment de partage. Thérèse a prié le Notre Père en langue dagari, « comme je le fais chaque jour », nous a-t-elle dit ! Puis elle nous a parlé abondamment de sa vie avec gratitude pour le passé et optimisme pour le présent. Merci Thérèse ! Thérèse, comment te sens-tu alors que tu as 100 ans ? Je trouve que c’est étonnant. Je me suis demandé si j’allais y arriver. Au moins trois fois dans ma vie, j’étais au bout. La raison en était le palu. En ces années de la grande guerre, vu la rareté de la quinine, chaque Père et chaque Sœur ne disposait que d’un comprimé par jour (à prendre le soir). Une fois, Mgr…