Dans son premier roman, « Le Dey de l’hôpital – Un aventurier en Algérie », Laurence Huard témoigne de l’espérance et du courage de ceux et celles qui quittent leurs pays.
Dans un style à la fois accessible et agréable, Laurence témoigne ici de vies et de parcours exceptionnels ! Elle raconte avoir été bouleversée par des rencontres extraordinaires, qui restent dans sa mémoire. Ce sont ces liens très forts avec l’Algérie qu’elle veut garder pour que ces vies ne soient pas oubliées, leurs chemins ne soient pas effacés, et que ces aventurières soient reconnues et honorées.
Elle joue totalement la transparence, de sorte que ces rencontres qui l’ont bouleversée, touchent à leur tour les lecteurs.
Voici ce qu’en disent les médias : « En vingt ans de vie sur le continent africain, Laurence Huard, jeune angevine, remplie de dynamisme et d’enthousiasme, a croisé le chemin d’hommes et de femmes hors du commun. En écrivant, elle leur prête une voix et redonne un sens à ces vies perdues dans nos immensités. »
Le résumé de l’ouvrage donne également le ton du récit : « Samuel incarne le lieu de nombreuses rencontres, de la compréhension mutuelle et d’un respect partagé dans la souffrance des couloirs d’un hôpital et dans le désert d’Algérie. Onze mois de proximité et de promiscuité dans un univers de soin, donnent chaque jour ce que la vague offre à l’océan, mouvement et continuel recommencement, vie et mort, cycle incontournable. Il faut avoir vécu dans la présence de ces hommes et de ces femmes immigrés, pour ne plus en parler, mais tendre l’oreille et tenter de n’être plus que des passeurs de mots. Qui alors leur niera le droit d’aller plus loin et le choix d’une aventure vers l’existence ? »
Un livre profond, poignant d’humanité et qui révèle bien la grande sensibilité de l’auteure. À lire absolument.
Dès notre sœur à Sceaux, France, Huguette Regennass