Joie et Gratitude pour une nouvelle communauté
La création d’une communauté est toujours source de joie et de gratitude.
L’engagement de la communaté de Lublin en Pologne pour le JPIC-RD
Visite à la prison Une fois par mois, Sr. Anafrida Biro va à la prison pour accompagner les prisonniers et prier avec eux. Les prisonniers qui ont besoin de parler l’attendent avec joie. Avec les sans-abri Une fois par semaine, Sr. Ania aide au Centre des bénévoles, où un repas chaud est donné aux sans-abri, aux anciens détenus et aux personnes en situation difficile. Sur la traite des êtres humains Nous avons invité un policier travaillant au service de la traite des êtres humains à nous parler de la réalité de ce problème dans notre région. C’était bon à faire car il y a peu de rapports sur la question. Sr. Ania Wójcik a participé à un atelier de formation sur «Évangélisation – règles de sécurité dans les rues, gestion des situations de conflit» organisé par le réseau Bakhita à Katowice. Migrants et rencontre des religions et des cultures Au…
Les migrants à Alger
Sr. Valérie a participé à la rencontre Zoom sur l’engagement des sœurs contre le trafic humain. Ce fut une expérience enrichissante. Elle en a fait un résumé lors de la réunion communautaire hebdomadaire. Cela nous a ouvert sur un long moment d’échanges sur les situations locales ici en Algérie. Nous avons évoqué la situation de certaines anciennes pensionnaires du centre Dar Essalem, pour les migrants les plus vulnérables, dont notre Sr Hortensia Sizalande est en charge, puis la « réapparition » des migrant(e)s originaires du Niger. Depuis quelques mois, nous assistons à des scènes de mendicité dans les rues. Il s’agit de femmes, d’adolescent(e)s, d’hommes âgés et surtout de jeunes enfants qui tendent la main aux passants et aux conducteurs. C’est vraiment pitoyable ! D’où sortent ces personnes en sachant que les frontières sont fermées ? Étaient-elles là avant le confinement ? Qui les héberge ? Beaucoup de questions nous habitent. En même temps, nous nous sentons…
Les dangers de la Migration
Monsieur Moustapha Dia, sénégalais, enseignait à l’école Diam Ly où travaille Sr Victorine Bulangalire et il était le plus ancien animateur de la Maison du Quartier, mon proche collaborateur. Il est parti pour les îles Canaries, en bateau. Et nous avons appris qu’il est mort. Selon un de ses amis qui voyageait avec lui, Moustapha est décédé le 3ème jour du voyage. Le bateau a perdu son chemin, a été à la dérive pendant 12 jours puis a été retrouvé et secouru par la Croix Rouge des Iles Canaries (Espagne) qui a pris en charge les survivants. Mais plusieurs migrants étaient déjà décédés par manque d’eau et de nourriture ou à cause de la chaleur. Le corps de Moustapha comme celui des autres naufragés a été rendu à la mer. Nous avons appris la nouvelle de sa mort le 17 septembre. Les enfants de la Maison du Quartier ont écrit…
Solidarité avec les réfugiés
Par notre soeur Kordula Weber dans la communauté de Haus Lavigerie à Karlsruhe, Allemagne Il y a trois ans en préparant des plats cuisinés pendant l’Avent, j’ai rencontré Nora, soudanaise, (nom et nationalité changés pour confidentialité). Elle s’était enfuie avec sa famille, son mari et ses trois enfants. Son quatrième enfant, handicapé, était né en Allemagne. Pouvoir communiquer en arabe a facilité la prise de contact avec elle et toute sa famille. En août 2020, Nora est venue me dire que l’agence de l’emploi ne leur versait plus de prestations: logement, nourriture, soins médicaux, et contribution pour les besoins personnels. Ces prestations étaient garanties par un permis de séjour qui venait de périmer ! Comme Nora ne parlait pas couramment l’allemand il était difficile pour elle de naviguer dans la bureaucratie. Le titre de séjour périmé elle n’avait pas immédiatement répondu à la demande du bureau de l’immigration de renouveler son passeport…
Le pape s’élève contre la prostitution « maladie de l’humanité »
« N’importe quelle forme de prostitution est… un acte criminel, un vice répugnant qui confond faire l’amour et soulager ses instincts en torturant une femme désarmée », écrit le pape François dans la préface du livre « Femmes crucifiées »de don Aldo Bonaiuto. Il condamne cette « maladie de l’humanité ». Le pape souligne qu’ « une personne ne peut jamais être mise en vente » et invite à « combattre efficacement l’exploitation et l’humiliation de vies innocentes ». Il exhorte à aider « nos sœurs infortunées » et « empêcher que l’iniquité du monde retombe sur les créatures les plus fragiles et sans défense ». Préface du pape François Quand, durant l’un des Vendredi de la Miséricorde de l’Année extraordinaire, je suis entré dans le foyer d’accueil de la communauté Papa Giovanni XXIII, je ne pensais pas que j’allais trouver à l’intérieur des femmes si humiliées, brisées, éprouvées. Réellement des femmes crucifiées. Dans la pièce où j’ai rencontré les jeunes filles libérées du trafic…
Sainte Joséphine Bakhita et la traite des personnes
Sainte Joséphine Bakhita et la traite des personnes
Le 8 février est la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui, kidnappée enfant, a été vendue comme esclave. C’est la Journée internationale de prière et de réflexion contre la traite des personnes.
Le sœurs soutiennent les migrants nigériens traumatisés par le trafic
par Patrick Egwu Publié dans « Global Sisters Report » Mai. 30, 2019 Note de la rédaction : Global Sisters Report se concentre sur les efforts des sœurs pour mettre fin à la traite des êtres humains alors que Talitha Kum, le réseau international de lutte contre la traite des religieux, célèbre son 10e anniversaire et lance sa campagne Nuns Healing Hearts. La série spéciale se déroulera périodiquement jusqu’en septembre, lorsque Talitha Kum tiendra sa première assemblée générale. Depuis sa création en 2014, GSR a consacré une section de sa couverture aux sœurs qui, de diverses manières, luttent contre la traite des êtres humains. Lisez toute notre couverture. Gloria Omoresewua n’était qu’une adolescente en 2003, lorsqu’une femme nigériane l’a amenée en Espagne et qu’elle a été forcée de se prostituer. Omoresewua a conclu un accord avec la femme, qui lui avait promis une vie meilleure en Europe : Omoresewua devait…
Les enfants dans la rue regardent vers l’avenir avec espoir
Qu’est-ce que Tikondane ? Tikondane est un projet des Soeurs Missionnaires de Notre Dame d’Afrique à Lilongwe, au Malawi. Nous y travaillons avec et pour les enfants dans la rue : environ 700 enfants chaque année dont plus de 400 nouveaux arrivants. L’objectif principal de Tikondane est, après avoir travaillé avec les enfants, de les réintégrer dans leurs familles et communautés. Afin d’atteindre cet objectif, Tikondane cherche à créer un environnement sûr, propice et adapté aux enfants dans notre centre d’accueil et avec les familles et communautés dont proviennent les enfants. Les principales raisons qui poussent les enfants dans la rue sont la négligence, la violence psychologique, la pression des camarades et les caractères difficiles. Certains sont accusés de pratiquer la sorcellerie alors que d’autres sont victimes de la traite humaine et du travail forcé des enfants. En allant vers les enfants dans les rues Tikondane travaille sans relâche pour libérer les…